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mercredi, 27 juin 2007

Pensées...

J'ai continué la catégorie des pensées et aphorismes, que en tant que j.a. j'avais lancée sur le web.

La loi la meilleure.. n'est pas toujours celle du plus fort.

Plutôt un aphorisme tels qu'on les aimait entre 1795 et 1810 en Allemagne. Allons nous relancer ce mouvement ? Il s'agissait la plupart du temps de minuscules pamphlets politiques ou de propositions pour l'avenir, ou de condensés philosophiques. Les notes, et billets d'humeur de nos i-grimoires ressemblent beaucoup à cela. Ici pensons aussi à Gandhi pour les nouvelles propositions de lutte... Il n'y a pas que les manifestations et les grèves, d'ailleurs je ne manifeste jamais. Cela ne sert pas à grand chose...  Les grèves ne servent à rien pour les profs, les élèves sont contents de pouvoir souffler un peu, il n'y a que les parents qui prennent l'école pour une garderie qui râlent, trouvons des formes de lutte qui embêtent plus les autres. Les jours de grèves les docs qui ne font pas grève se retrouvent avec toute la permanence sur leurs bras, vous y avez déjà pensé?

La liberté

domino

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Mise à jour (Deux heures plus tard)

Des pensées sur la critique.

domino

A l'heure de la fermeture... Sauve qui peut...

Quel professeur  n'a jamais trouvé que son collège ou son lycée ferme trop tôt le soir ?

J'ai travaillé dix ans dans un lycée où il y avait un internat et un lycée pédagogique ouvert le soir, la cantine le soir à 7 heures, etc... Ceci m'at-il donné de mauvaises habitudes?

Toujours est-il que depuis que je suis en zone de remplacement, j'ai de gros ennuis avec les concierges et agents d'accueil, apparemment tous mes problèmes en zone de remplacement viennent de ces agents d'acceuil ou concierges qui n'aiment pas les profs qui leur font prolonger leur service, ne serait-ce que d'une minute ou deux. Ce qui est incompréhensible, parce que eux souvent habitent sur place, alors que nous avons souvent encore après les cours de longues routes à faire.

Dernièrement la concierge était assez gentille. Je lui avais même proposé de fermer aussi les ordinateurs de la salle des profs, en plus de ceux du CDI, pour lui faciliter le travail. Mais elle trouvait que si les ordinateurs restaient allumés ce n'était ni son affaire, ni la mienne, du moment que portes et fenêtres soient fermés et que les lumières soient éteintes. On aurait dit d'ailleurs que ces derniers temps on faisait exprès d'ouvrir les fenêtres juste derrière les ordinateurs. J 'étais, vu ma taile, obligée de mettre un genou sur les tables d'ordinateur pour me hisser jusqu'au niveau des fenâtres en tirant fort sur mon bras, ma collègue, elle, plus jeune, mais d'environ la même taille que moi, montait carrément sur les tables pour fermer les fenêtres, mais la plupart du temps, elle partait avant moi en les laissant ouvertes.

(Je viens d'être dérangée par le service commercial du fournisseur d'accès d'Internet, ce qui brise un peu ma note, ils m'ont fait une proposition d'un nouveau routeur avec téléphone, mais vous savez que ces téléphones déforment la voix? Je préfère garder mes deux services séparés).

Bon, bref, j'ai eu des ennuis avec plein de concierges et d'agent d'accueil, depuis que je suis devenue TZR.

- Pour les lycées, ça va encore, généralement ils ferment à 19 heures, en arrêtant les cours à 17 h 30, à 19h 30 quand les cours arrêtent à 18 heures, ce qui laisse quand même le temps de se retourner.

- Pour les collèges, c'est la panique : quand les cours finissent à 17 h 30, ils ferment à 17 h 45. Vous n'avez que 1/4 d'heure pour vous retourner après le départ des élèves. Au CDI, c'est encore pire, regardez un peu tout ce qu'il y a à y faire après le départ des élèves sur une de mes notes.

Si on m'avait dit cette année, vous aidez simplement les élèves en allemand, ce n'aurait pas été la même chose, car je n'aurais eu que les élèves d'allemand... Mais en "documentation", il y avait des choses à faire. Ma jeune collègue m'a d'ailleurs remerciée d'avoir été là, car en 18 heures (elle était TZR de matière, mais nommée par le recteur à l'année en documentation, elle a eu sa mutation sur un poste de français, comme elle le souhaitait), en 18 heures, elle n'avait pas le temps de tout faire, surtout que les élèves étaient toujours dans nos jambes sur ces 18 heures que ce soient celles de l'une ou de l'autre, le CDI était ouvert au minimum 24 heures par semaine , jusqu'à 27 heures, car je prenais souvent les élèves le soir... Ils venaient constamment aux récréations demander s'il y avat CDI après, car sur ses 18 heures ma collègue prenait aussi des classes de français, ou emprunter des livres, et entre midi pour les clubs, puis une fois que les clubs étaient finis (je n'ai plus eu d'élèves aux clubs après mon absence de la mi-mai), ils avaient toujours des recherches pour des devoirs ou des exposés à rendre d'urgence. Ils avaient toujours des trucs urgents à faire, si bien que l'on était (surtout moi) constamment  sur la brèche. Quand on fait cours, ce n'est pas pareil, les élèves ne viennent pas vous embêter quand vous n'avez pas cours. Ou très peu. Mais au CDI, on frappe continuellement à la porte, quand ce ne sont pas les élèves, ce sont les profs, collègues qui ne s'inquiètent pas de savoir si vous êtes sur vos heures de service ou non. C'est vrai qu'en salle des profs on discute des élèves hors des heures de service, mais dans ma carrière, j'ai rarement parlé des élèves à une documentaliste hors de ses heures d'ouverture de CDI, hors de mes heures de service de prof, oui, mais hors des heures d'ouverture de la documentaliste, non! Donc, on exagérait avec nous (je parle de notre disponibilité) parce que nous étions profs et pas documentalistes.

Mais il faut le prendre avec humour, voilà trois articles qui le prennent avec humour :

- Peur de la concierge.

- Vite... Vite..

- Se faire vider quand on est prof...

Vous rigoler, mais dans lycée qui terminait à 18 heures (sans internat), je me suis retrouvée enfermée avec ma voiture devant la grille de sortie pendant deux, trois heures, mon époux m'attendait dehors, il y avait un vent froid et des feuilles mortes qui volaient. Il me voyait de l'autre coté de la grille, téléphonait à droite et à gauche et ne trouvait personne pour m'ouvrie.Il a fini par tomber sur une collègue qui avait le numéro de téléphone d'une CPE* qui a téléphoné à la concierge, qui furieuse, est venue m'ouvrir. S'il n'avait pas été là, j'aurais dormi dans la voiture, au risque d'avoir froid et sans être lavée pour le lendemain, ça aurait fait moins de bruit. Le bâtiment était fermé et la grille avait été fermée cinq minutes plutôt, j'ai vu de loin encore un collègue sortir sa voiture, il est passé environ 30 secondes avant moi, et la grille a été vérouillée entre nous deux.

domino

*Consieller principal d'éducation.

mercredi, 13 juin 2007

Problèmes d'enseignement...

Les problèmes de l'enseignement ne concerne pas toujours la façon d'enseigner aux élèves, mais surtout la carrière du professeur.

Si j'avais eu l'agrégation...

La situation des TZR, quand le professeur devient TZR après une longue carrière où il était un professeur apprécié peut être mal vécue à la fois par le professeur et par la population, dans la mesure où les gens de la ville se demandent pourquoi il est devenu remplaçant, s'il n'y a pas une faute de sa part à l'origine (et on jase), c'est d'autant plus criant quand cela se passe dans une petite ville et une petite région où le prof est connu. Et ce n'est pas en fin de carrière, après avoir trimé toute sa vie pour l'acheter que l'on revend sa maison pour partir à un endroit où il y  a plus de postes, et à cela on n'y pense jamais. Alors on doit laisser jaser la population qui se demande pourquoi vous êtes passé d'un poste de prof dans un bon lycée à un poste de documentation dans un collège REP. A-t-il perdu sa titularisation ? Qu'est-il arrivé? Monsieur Tout le Monde ne connait pas le statut des TZR et des professeurs en général, il juge les changements de situation d'après sa jugeotte. Me faire faire de la documentation, c'etait m'exposer à la vindicte de la bonne société dans une ville où j'étais connue et appréciée.  Et parfois on voit que des jeunes aux dents longues, originaires d'autres régions,  montent en vous empêchant d'obtenir le poste que vous voudriez, dans l'impossiblité de retrouver votre ancien poste.

Ceux qui jasent à ville où je travaille...

 

domino

Des lettres et des chiffres.... et des noms barbares...

J'ai pensé aux étrangers qui lisent nos blogs français.

Il faut dire que quand moi je lis certains blogs américains, je reste perplexe devant certaines abréviations, bien qu'ils en font moins usage que nous.

Le français a l'esprit simplificateur, mais cela amène parfois des confusions.

Il y a CPE et CPE.

Il y a CDI et CDI.

Et il y avait des Zèpes qui se sont transformées en Reps,  Mais on dit une Zèpe et un Rèp...

Et il y a des Capèsses et des C'est aime deux.... Etc...

C'est pourquoi, j'ai rédifgé cet article ! Clic, clic.

domino

mardi, 05 juin 2007

La suite de l'histoire....

A lire en 1 mesquinerie et consorts.....

A lire en 2 mesquinerie et consorts 2 ....

 Nouveau : à lire en 3 : accueil on ne peut plus cordial...

domino

dimanche, 20 mai 2007

Mesquinerie et consorts... (2)

Dans cette semaine noire que j'ai vécu professionellement !

Revoir les notes précédentes que j'ai mises à jour et dont j'ai amélioré la présentation pour qu'elles soient plus lisibles. Si vous n'aimez pas lire directement sur les écrans, imprimez les avant de les lire.

Mes notes précédentes (en lien sur cet i-grimoire-ci).

LE CDI, un lieu de culture...

Rattachement...

Pensée du dimanche après-midi..

Rattrapage d'heures

domino

jeudi, 17 mai 2007

Mesquinerie et consorts....

Depuis lundi il se passe des choses peu agréables dans ma vie professionnelle de prof. Du matériel dont je viens de me servir qui disparaît, la principale qui me dit que je ne sais pas ce que je fais, qui écrit au rectorat, le matériel qui réapparait le lendemain après-midi, après la pause de midi alors que beaucoup de monde a les clefs, une principale qui campe sur ses positions et ne veut pas écouter ma version, qui fait faire des rapports sur moi par un agent de service et une surveillante,... et peut-être aussi ma collègue sous pression de la principale. Moi, vous voyez, j'écris sur mon i-grimoire sans citer de noms, je suis respectueuse des autres qu'eux et on dit le contraire.

Voici de la lecture à ce propos (A lire dans cet ordre, ce sera plus compréhensible) :

- Bizarreries au CDI.

- Goujaterie.

- Ils ont fait cela pour...

- Ma principale n'est pas honnête ou alors elle...

- Deux poids et deux mesures (3)

- En Sarkozie

Vous voyez ces évènements ont beaucoup fait bouger mes touches de clavier, mais ce n'est pas une situation très drôle, d'autant plus que l'inspecteur d'allemand vient mardi et l'inspecteur de CDI vient voir ma collègue TZR de français jeudi (le jeudi, je ne suis pas là). Ma principale les a fait appeler.

Je me demande aussi s'ils n'essaient pas de me faire démissioner avant la retraite pour ne pas payer ma retraite de fonctionnaire. Mais de toute façon, dans ce cas là il y aurait une aute solution, celle de la faire valider avant de partir, mais mon projet est d'enseigner l'allemand jusqu'à 65 ans pour avoir le plus possible d'années de retraite.

En 2002, après ma "mauvaise inspection" dans laquelle on reconnaissait que j'avais de l'autorité, mais que je pourrais la perdre plus tard si je n'appliquais pas les consignes de l'inspecteur, recherche des élements facilitateurs, des entraves de contexte interne, des entraves de contexte externe, etc... j'ai écrit plusieurs lettres à l'inspection, parce que les i-grimoires (blogs pour le commun des vivants) n'existaient pas. Maintenant je jette mon fiel sur mes i-grimoires.... merci l'inventeur des beulogues.

domino