mercredi, 27 juin 2007
Doublé... hum... hum...
Doublé réussi... hum... hum..; Heureusement que personne ne m'a félicité sans comprendre l'ironie de l'article ! Non, l'agrégation fut doublement râtée cette fois. Et complètement ! Une fois n'est pas coutume !
Et les bizarreries de la liste déjà évoquées ici se sont réitérées :
domino
Mise à jour (deux heures plus tard) :
Voici d'autres articles écrits postérieurement sur le même sujet :
La j.a. serait-elle mauvaise en français (on la trouve mauvaise celle là, une si bonne littéraire, qui écrit si bien, mauvaise en français? Que les germanistes sont difficiles..
- Comparaison.
Il y a maintenant une option français au CAPES d'allemand, pour ceux qui désirent enseigner une seconde matière, et bien voici ce que l'on va trouver bientôt :
- dissertation en français sur un programme d'allemand du CAPES d'allemand (corrigé par des germanistes), pour un candidat francophone :
"Votre français est très mauvais. Vous faires de nombreux germanismes..."
- dissertation en français du CAPES de français (la même que pour les spécialistes du français) :
"Votre français est excellent et votre style aussi.."
Ceci pour un même candidat...
C'est là que l'on verra que les correcteurs germanistes sont plus royalistes que le roi (de France). Faisons corriger les dissertations de français du CAPES de français par des germanistes et vous verrez l'hécatombe. Déjà rien que sur le plan des fautes d'orthographe... Déjà les germanistes doivent faire moins de fautes d'orthographe que les futurs profs de français, car dans les traductions (version) on compte comme faute la moindre petite virgule manquante, le moindre petit trait d'union en trop, etc... Cette année quand j'avais au CDI un doute sur l'orthographe d'un mot et que je demandais à ma collègue titulaire du CAPES de français, elle ne savait pas la solution non plus.
domino
09:40 Publié dans université i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agrégation d'allemand, agrégation, université
mercredi, 13 juin 2007
Problèmes d'enseignement...
Les problèmes de l'enseignement ne concerne pas toujours la façon d'enseigner aux élèves, mais surtout la carrière du professeur.
La situation des TZR, quand le professeur devient TZR après une longue carrière où il était un professeur apprécié peut être mal vécue à la fois par le professeur et par la population, dans la mesure où les gens de la ville se demandent pourquoi il est devenu remplaçant, s'il n'y a pas une faute de sa part à l'origine (et on jase), c'est d'autant plus criant quand cela se passe dans une petite ville et une petite région où le prof est connu. Et ce n'est pas en fin de carrière, après avoir trimé toute sa vie pour l'acheter que l'on revend sa maison pour partir à un endroit où il y a plus de postes, et à cela on n'y pense jamais. Alors on doit laisser jaser la population qui se demande pourquoi vous êtes passé d'un poste de prof dans un bon lycée à un poste de documentation dans un collège REP. A-t-il perdu sa titularisation ? Qu'est-il arrivé? Monsieur Tout le Monde ne connait pas le statut des TZR et des professeurs en général, il juge les changements de situation d'après sa jugeotte. Me faire faire de la documentation, c'etait m'exposer à la vindicte de la bonne société dans une ville où j'étais connue et appréciée. Et parfois on voit que des jeunes aux dents longues, originaires d'autres régions, montent en vous empêchant d'obtenir le poste que vous voudriez, dans l'impossiblité de retrouver votre ancien poste.
Ceux qui jasent à ville où je travaille...
domino
16:30 Publié dans i-grimoire de l'enseignement | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : TZR, agrégation, allemand, documentation, écoles de musique, musique, enseignement