Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 27 juin 2007

LE QI ou l'IQ ?

Avoir un fort QI (IQ dans d'autres langues courantes), est-ce que cela nuit à la santé. Certains, qui me considèrent comme folle, ce que je ne suis pas, le prétendraient, mais  avoir un fort QI amène des avantages, pas seulement être bon à l'école, mais aussi savoir lire correctement une carte, ne pas se tromper de route (intelligence spatiale), comprendre  rapidement le Solfège (je me souviens avoir ingurgité toute la grosse théorie de la musique de Danhauser en une soirée, avoir dévoré des Formenlehren et des théories allemandes en un tour de main, et dans un stage d"épinette des Vosges à avoir compris tout de suite les anciens modes, alors que d'autres musiciens classiques n'avaient absolument rien compris), mais il faut aussi avoir la motivation.... car sans motivation, le gros QI peut mener à l'ennui, c'est l'exemple des surdoués qui s'ennuient en classe, pas seulement parce qu'ils savent déjà tout ce qu'on veut leur apprndre, mais parce qu'ils ne se sont pas encore découvert une passion, l'observation des autres (autres étudiants ou élèves, professeurs... brr... je sens qu'ils vont avoir peur de moi lors de la prochaine année universitaire...).... Mais je ne suis pas surdouée, il faut 145 pour être surdoué, il n'y a qu'en logique où je suis surdouée, c'est pour cela que je suis bonne en grammaire et en linguistique, en sens spatial il ne me manque qu'un chouïa, pour le verbal et l'arithmétique, je suis seulement dans les intelligences supérieures.

Test (de Q.I.

domino

 

 

 

13:25 Publié dans science-i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : QI, IQ

Les commentaires sont fermés.