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mardi, 05 juin 2007

Ours ou singe ?

De qui descendons-nous, de l'ours ou du singe ?

La science i-grimoirienne intuitive.

domino

Commentaires

Je ne pourrais pas répondre à ta note que j'ai appréciée.
Tout cela n'a pas d'importance dans le présent. Je laisse aux chercheurs le soin de trouver.
L'orage gronde. Je ferme l'ordinateur.
Bon après midi.

Écrit par : elisabeth | mercredi, 06 juin 2007

Ah oui ! L'orage gronde, mais.... ici il fait beau. Et pourtant on est dans le Nord et tu es dans le Sud ! Moi aussi je débranche l'ordinateur quand l'orage gronde. Et le modem aussi. Je n'ai pas envie que mon ordinateur soit kaputt ! Mais, bon, revenons à la note, sinon nous ferons un hors sujet. Je me sens plus proche des nounours que des singes en peluche. Il doit y avoir une raison....

Écrit par : j.a. | mercredi, 06 juin 2007

Je pense que je suis plus proche du singe que de l'ours. Mais j'aime bien les ours en peluche et ma petite fille en a beaucoup. Nous sommes allés en Tchécoslovaquie en 1979 et la correspondante tchèque de mon mari (ils s'écrivaient depuis le lycée) a offert un ours en peluche à ma fille. Elle l'a toujours. Il avait perdu sa tête mais je l'ai réparé. C'est donc un ours tchèque... A la douane, on a pu passer avec...

Écrit par : elisabeth | mercredi, 06 juin 2007

Hors sujet : Au bord de la forêt de Mormal, du coté de Landrecies on trouve les lieux dits suivants : Les étoquies, le Rosembois et la Haute Cornée. C'est sans doute dans l'un de ces lieux là que tu allais avec ta grand-mère, c'est moins loin de Landrecies que Hachette.
Dans le sujet : J'ai passé une cithare en accords de RDA et une épinette hongroise que des amis est-allemands avaient été chercher en Hongrie à la douane entre les deux Allemagne sans problèmes, on ne m'a même pas posé de questions à ce sujet et pourtant les douaniers qui visitaient le coffre par routine les ont vues. J'ai aussi passé quelques flûtes à bec dont la superbe flûte ténor que m'ont offerte mes amis. J'ai aussi joué sur mon épinette des Vosges que j'avais dans la voiture en attendant mon tour à la frontière et j'avais ce jour là aussi ma guitare. J'ai tout ressorti sans problèmes. C'était le bon temps, ça faisait rigoler les Vopos comme dans le film "Am anderen Ende der Sonnenallee". Ah! Mes grandes vacances de jeunes profs, ma jeunesse sage et turbulente, où es-tu, je suis devenue vraiment casanière depuis. Et il n'y a plus une grosse frontière au milieu de l'Europe pour exercer sa bravoure et son courage. On a amené des disques de Bob Dylan à nos amis est-allemands, c'était la guerre froide, mais on était amis. Ils sont venus chez nous à la réunification, dès qu'ils ont eu le Mark Ouest en 90. Pour nos élèves c'est de l'histoire, pour nous, c'est seulement hier. C'était une superbe époque, le ciel menaçait de nous tomber sur la tête avec tous ses missiles, mais nous on était plus heureux que maintenant, on était en forme, on campait l'été, on pouvait avoir froid, chaud, il n'y avait que la vie qui comptait. On parlait beaucoup allemand, un peu anglais, la vie était belle.

Écrit par : j.a. | mercredi, 06 juin 2007

La première fois que je suis allée en R.D.A., je m'imaginais des villes toutes grises. On avait le choix entre plusieurs cours d'été, c'était des cours de langue qui duraient trois semaines. Ils étaient organisés exprès pour les profs d'allemand étrangers. J'y suis allé deux fois, c'est là qu'on a rencontré nos amis qui avaient le même âge que nous. Sa femme avait un an de plus que Paul et lui un an de plus que moi ou le même âge et ils avaient un fils, dans les années 80, ils ont eu aussi une fille. Ah! oui, avant le premier départ, j'avais un peu peur, on avait choisi Erfurt parce que c'était la ville de cours la plus proche de la frontière, on pouvait revenir plus vite en cas de besoin, mais finalement, on n'a rien trouvé de gris, ce qui m'a surprise le plus à Erfurt, c'était le calme en plein centre ville, il n'y avait pas beaucoup de voiture, seuls les bruits des tramways brinquebalants troublaient le silence, mais il y avait beaucoup de monde à pied. Les week-ends on traversait le soir les jardins ouvriers avec leurs petits cabanons et leurs terrasses éclairées par des rangées de lampions, les gens chantaient jusque tard dans la nuit en pleine ville, les allemands de l'Est aimaient faire la fête, à Erfurt il y avait la Iga, Internationale Gartenausstellung, une exposition permanente de fleurs, car Erfurt est la ville des graines de fleurs et de potager, et à Weimar à 12 km les maisons de Goethe, de Schiller et de Herder, celle de Lucas Cranach der Ältere , et le parc avec la maison de jardin (Gartenhaus) de Goethe, il était mieux entretenu que maintenant. Les deux magasins de musique, l'officiel près de la maison de Schiller et le privé sur la Grand Place, ils ont disparu tous les deux. "C'était le temps des fleurs et on ignorait la peur..." Nos amis habitaient à Apolda, une ville où on fabriquait des cloches et également une ville textile. Notre amie travaillait dans la laine et les tricots et lui était prof, mais il avait du se recycler à cause de sa voix qui se cassait facilement, et il était organisateur culturel et a travaillé aussi dans l'enseignement de l'informatique à ses débuts. C'était réservé aux surdoués en maths. J'en aurais des choses à raconter, si je voulais dire tout ce qu'on a vécu là-bas. Mais en fait, on n'a rien vécu de négatif là-bas, tout était fait pour que le visiteur se sente bien. Rien à voir avec les villes grises dont j'avais peur avant de partir.

Écrit par : j.a. | mercredi, 06 juin 2007

Bonjour Domino,
Moi aussi, j'ai été frappé à BRNO de ne voir que quelques voitures. Seul le tramway permettait de circuler car acheter une voiture à cette époque là était au-dessus des moyens des habitants. Je voyais aussi dans la campagne de vieux camions d'où sortait une fumée noire du pot d'échappement. C'était une autre vie. La Poste où nous étions allés chercher des timbres datait. Elle était vieille. Ce qui m'a frappée, c'est que la nuit, des camions passaient dans les rues pour lancer de l'eau sur les rues. Toutes les rues étaient mouillées et aussi, chez nos amis, nous devions mettre des pantoufles avant d'entrer et laisser nos chaussures à la porte, à l'intérieur.
Pour revenir à l'usurpateur, j'ai eu 3 fois sa visite entre 23 h 30 et minuit pour les 2 premiers commentaires, le 3ème je ne me souviens plus. Je verrais tout à l'heure. L'IP est pour GROS : 87.106.27.17
Pour Haaaaaaagr :128.197.11.30
Pour Domi-no, la fausse domino : IP : 204.13.236.244
Je pense qu'ils sont plusieurs car les IP sont vraiment différents.
Heureusement que tu as ce blog caché où l'on peut discuter.
Sinon, j'espère que tu n'as pas eu de dégâts chez toi (coulées de boue, maison inondée).
Bonne journée.

Écrit par : elisabeth | vendredi, 08 juin 2007

J'ai oublié de te préciser que c'est par les Etoquies que les promenades avec ma grand mère se passaient, du côté du canal. Les étoquies longent le canal. Ma mère aimait aller se promener tous les après midis aux Etoquies. Il y a pas mal de chapelles.

Écrit par : elisabeth | vendredi, 08 juin 2007

J'ai du passé aux Etoquies il y a longtemps, avant que les chemins de randonnée n'existent dans l'Avesnois (on a été des pionniers en la matière, mon mari a été président d'un club de randonnée, dont j'étais la guide au début des années 80, on a aussi balisé le PR "Tour de la Thiérache". On faisait ce jour là un repérage dans la forêt de Mormal, entre Berlaimont et Landrecies en passant par un long chemin envahi par les herbes (c'était le PR), on a débouché aux Etoquies.On est rentré en train, car cela faisait bien une vingtaine de kilomètres dans la journée déjà.
Est-ce que c'était en 76 que tu étais à Brno ? En 76, on était en RDA pendant 3 semaines en été et il y avait un tas d'installations contre la sécheresse, tous les champs étaient irrigués alors que par ici toute l'herbe était jaunie, ils avaient prévu le coup (de chaleur), eux ! C'était ce qu'on appelait les LPG, une économie agricole de type kolkhoze qui malheureusement avait fait tomber toutes les haies. C'était aussi très pollué, en hiver on sentait l'odeur de la lignite brulée, une espèce de combustible appelé !kali en allemand, c'est avec cela qu'ils se chauffaient. Les villes est-allemands avaient en hiver l'odeur typique de ce combustible et quand tu descendais du train en hiver en venant de l'Ouest, tu disais : "Tiens, ça sent la RDA!". Et nos amis rétorquaient "Ach! Riecht es nicht nach DDR?" "Ah! ça ne sent pas la RDA?", car leur famille ouest-allemande disait toujours cela en arrivant. Que de souvenirs !

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

On a pas eu de coulée de boue, c'était à environ 15 à 20 km au nord-ouest d'ici entre l'Avesnois et le Valenciennois; il y a eu aussi des dégâts à 15 km au nord est d'ici. Tout à l'heure on entendait toujours le tonnerre dans le lointain, plus vers le Nord. Alors que l'autre jour, c'était vers le Sud. Fourmies a aussié é plus touché qu'Avesnes et Aulnoye. Pour le moment il y a un ciel gris avec du brouillard (la petite pixie le dit...) et il fait toujours lourd. Demain c'est St Médard, espérons que St Barnabé lui coupe la barbe, s'il ne fait pas beau demain on sera parti pour trente jours de pluie, à moins que St Médard ne mente, comme l'a dit l'an dernier la petite pixie.

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

Pardon, pour quarante jours de pluie. ça fait un an que la petite pixie écrit des poèmes !

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

Bonjour Domino,
Internet est lent ce matin. Je vais essayer de te répondre :
c'est en 1979 que nous sommes allés en Tchécoslovaquie. Ma fille avait 2 ans et demi. En 76, nous sommes restés à Montpellier pour tapisser l'appartement. Je commençais à travailler depuis mars et je n'avais pas de congés l'été.
Je vais essayer de téléphoner à mes parents tout à l'heure pour demander s'ils n'ont pas eu trop peur. En ce moment le mauvais temps est au pays Basque. Ici, il y a peu de soleil, les nuages sont nombreux. Nous nous sommes baignés dans la piscine hier soir mais aujourd'hui je crains qu'il ne fasse pas assez beau.
Bon dimanche.

Écrit par : elisabeth | dimanche, 10 juin 2007

Bonjour Domino,
Internet est lent ce matin. Je vais essayer de te répondre :
c'est en 1979 que nous sommes allés en Tchécoslovaquie. Ma fille avait 2 ans et demi. En 76, nous sommes restés à Montpellier pour tapisser l'appartement. Je commençais à travailler depuis mars et je n'avais pas de congés l'été.
Je vais essayer de téléphoner à mes parents tout à l'heure pour demander s'ils n'ont pas eu trop peur. En ce moment le mauvais temps est au pays Basque. Ici, il y a peu de soleil, les nuages sont nombreux. Nous nous sommes baignés dans la piscine hier soir mais aujourd'hui je crains qu'il ne fasse pas assez beau.
Bon dimanche.

Écrit par : elisabeth | dimanche, 10 juin 2007

Je m'excuse pour le commentaire en double mais c'est tellement lent que je croyais qu'il n'était pas passé....

Écrit par : elisabeth | dimanche, 10 juin 2007

Tu peux aller voir sur mon blog, cette nuit à 0 h43 et 0 h 11 l'usurpateur est venu cracher son venin contre toi. Mais, je rigole, nous avons d'autres ressources pour le contrer. Ce blog par exemple. Il ne le connait pas, il s'imagine qu'on va se lamenter....

Écrit par : elisabeth | dimanche, 10 juin 2007

@elisabeth : Réponse au 1er de tes nouveaux coms : a) je ne sais pas alors pourquoi en 79, ils ont arrosé les rues. De toute façon les rues, ça ne fait pas pousser le blé, il y avait sûrement de l'herbe entre les pavés, puisque si c'était comme en RDA, il n'y avait pas beaucoup de bitumes, des vrais pavés du Nord ! Ma voiture faisait boum boum sur les pavés en traversant les villes , sur les autoroutes c'était des plaques de béton qui faisait un bruit comme les rails de train. Il y avait des nids de poule sur les toutes et ma R5 pourtant haute sur pattes à coté des voitures actuelles, avait attrapé des bosses en dessous parce qu'elle était trop basse pour les nids de poule, et j'ai du faire débosseler les deux fois la tôle de protection d'en dessous.

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

@elisabeth : j'ai du envoyé le commentaire ci-dessous prématurément car mon ordinateur s'est bloqué, pour le débloquer, j'ai du couper le modem, et je l'ai rallumé quand Internet s'éteignait et il s'est débloquer, j'ai réussi in extremis à récupérer la page qui était en train de s'éteindre et le message. Je pense que c'est la mise à jour Windows programmée à 21h qui en est la cause. Car mon portable n'est peut-être pas assez fort pour faire plusieurs choses à la fois.

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

@elisabeth : j'ai du envoyé le commentaire ci-dessous prématurément car mon ordinateur s'est bloqué, pour le débloquer, j'ai du couper le modem, et je l'ai rallumé quand Internet s'éteignait et il s'est débloquer, j'ai réussi in extremis à récupérer la page qui était en train de s'éteindre et le message. Je pense que c'est la mise à jour Windows programmée à 21h qui en est la cause. Car mon portable n'est peut-être pas assez fort pour faire plusieurs choses à la fois.

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

@elisabeth : mon ordinateur a encore failli se bloquer. Bref, sur la dizaine de fois où je suis allée en RDA, j'y suis allée deux fois en voiture, et les deux fois, elle avait une bosse en dessous à cause des nids de poule. Tu tombais comme ça dedans brusquement alors que de loin, la route semblait plate... Les deux fois elle a aussi perdu son nez Renault. Ils collectionnaient les écussons des voitures de l'Ouest, c'était surtout les superbes insignes des Mercedes de RFA qui étaient visés, mais les insignes Renault avaient aussi du succès, à cause du symbolisme que véhiculait cette marque au niveau de la "classe ouvrière", à cause des grèves de l'usine de Boulogne-Billancourt. Voilà un genre d'information qu'on hésitait pas à leur donner. Même dans les manuels de français, le père du jeune héros de la méthode travaillait chez Renault (il était O.S.) et sa mère faisait des ménages. Le français était souvent la deuxième langue après le russe, parce que l'anglais était la langue de "l'impérialiste américain". Il y avait tout un folklore socialiste là-bas, on s'y habituait, ça faisait partie des moeurs, même nos cours de langue avec les exemples dans des grammaires écrites par des linguistes de renom international avaient des exemples socialistes.
Ceci dit je ne vois pas pourquoi ils mouillaient les routes en Tchéchoslovaquie, c'était sûrement pour les nettoyer ! Mais ça faisait pousser l'herbe entre les pavés.
2ème sujet de ton premier com : ici il fait gris, mais on est allée écouter de la musique dans région voisine aujourd'hui à environ 50 km il faisait beau, quand on est revenu il faisait gris ici, mais le soleil commence à revenir, St Barnabé va peut-être couper la barbe à St Médard !

3ème sujet de ton 1er com : J'ai vécu une tornade sur la route du Pays Basque quand j'étais jeune, ça devait être en 70 ou en 71, j'étais allée là-bas avec mes parents. On avait pique-niqué avant d'aborder les Landes (ça devait être le deuxième ou le troisième jour de route, il n'y avait pas d'autoroutes comme aujourd'hui). Le ciel était laiteux, il faisait très lourds. On avait pris la N10, quand on est arrivé vers la fin des Landes, le vent s'est levé, ça faisait se soulever la terre et la poussière, mon père a trouvé un endroit pour s'arrêter à un endroit où il n'y avait pas d'arbres, à la sortie d'un village. Puis il y a eu un vent terrible et tellement de poussière qui volait qu'on y voyait plus rien, on était tous blottis les uns contre les autres et on avait peur. Mon père qui en avait vu d'autres pendant la guerre essayait de nous donner du courage. Puis il est tombé des trombes d'eau, mon père faisait tourner le moteur pour qu'il ne se noie pas. Sur la route à coté de nous une file de voitures commençait à s'immobiliser, en effet des arbres étaient tombés en travers de la route et la N10 était bloquée. Puis la pluie s'est calmée et la file de voitures s'est remise en route, on s'est remis en route aussi, et on a vu à plusieurs endroits qu'on avait mis des arbres tombés sur le coté de la route, et juste en arrivant au Pays Basque il faisait beau, je me souviens qu'on est passé à un endroit d'où on voyait la mer, le soleil couchant brillait sur la mer. Puis on est arrivé à notre location, cela devait être en 71, parce qu'on savait où se trouvait la location qui était la même que l'année précédente. J'avais 20 ans. Le lendemain on a vu dans le journal que c'était une tornade et il y avait eu beaucoup de dégâts que les campings de Soustons et environ juste au sud des Landes au bord de la mer, des arbres étaient tombés sur les caravanes.

Écrit par : l.a. | dimanche, 10 juin 2007

@Elisabeth ; Je vois que l'usurpateur ne sait rien faire d'autre lorsqu'il trouve les commentaires fermés sur mon blog, que d'aller chez toi. J'ai enlevé le lien vers ton blog, comme cela si c'est ce lien qu'il utilise pour venir sur ton blog et qu'il n'a pas noté l'adresse de ton blog, il aura peut-être plus de mal à te trouver. Surveille pour voir s'il vient encore. Je vais peu à peu faire passer mes liens sur ce blog ci. Je ne voudrais pas qu'on me salisse un peu partout, chez Mari, chez Joan Baez (!), etc... Je vais faire passer les liens ici lentement pour que ça ne se voit pas de trop et qu'il ne le remarque pas. Sauf ma nouvelle note bien entendu.

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

J'ai eu peur, en voulant venir sur ce blog préparer mes liens j'ai tapé mes codes de la j.a. et quand le face d'administration est apparue, la flêche de ma souris était juste pointée sur "supprimer le blog" qui est devenu tout rouge, je n'ai heureusement pas cliquer et j'ai regardé tout de suite si le blog était encore là, sur le moment je croyais que c'était ce blog-ci et c'était la j.a.. J'ai eu peur. Je vais revoir tout de suite s'il est encore là, mais je pense que les fonctions se colorent si tu passes la flêche dessus, sans être activées si on ne clique pas, mais j'ai eu chaud ....

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

Ici aussi la fonction "supprimer le blog" est juste à la hauteur de l'endroit on on tape le code d'entrée, il s'est coloré aussi en rouge quand je suis entrée. Je n'ai pas cliqué. J'espère que si on cliquait par mégarde, il y aurait une fenêtre qui demanderait confirmation où on pourrait cliquer qu'on ne veut pas le supprimer.

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

Bonsoir : je réponds à ton dernier commentaire. Moi aussi je me trouve toujours pointée sur "supprimer le blog" car on tape toujours dans ce coin là les codes d'entrée. Cela me fait peur. Pourvu qu'il y ait un rappel si jamais je clique sans le faire exprès, un rappel si oui ou non on veut le supprimer...
J'ai mis un commentaire chez Evariste contre Le gref et aussitôt après, quelqu'un est venu m'insulter deux fois. J'ai supprimé ces deux commentaires en mettant Usurpateur. Le Gref était ce monstre infame qui était venu faire deux longs commentaires sur mon blog il y a 10 jours et que j'ai supprimés.
Je vais donc effacer les 2 derniers commentaires grossiers mais tout le monde les a vus, c'est un peu tard.
Je vois que tu as eu une grosse peur en 1970 ou 71. Quand on a annoncé en 1975 à des amis qu'on partait habiter dans le Midi, ils nous ont dit : "vous n'avez pas peur avec les orages violents du midi...."
Je ne sais pas pourquoi on arrosait les rues le soir. Avec la correspondante tchèque de mon mari il fallait parler Anglais, tandis qu'avec son mari il fallait parler Allemand. On ne leur a jamais demandé pourquoi les camions arrosaient les rues. Par contre, à cette époque là, la Renault 5 leur plaisait beaucoup.
Je te laisse ici et bonne nuit.

Écrit par : elisabeth | dimanche, 10 juin 2007

Les résutats de l'admissibilité du CAPES d'allemand sont arrivés, dans mon académie je connais presque tous les candidats, parce qu'ils avaient des cours en commun avec l'agrégation. Il y en a des très bons, mais aussi d'autres qui font beaucoup de fautes en allemand, je me demande comment ceux-là sont admissibles. Je pense que c'était plus difficile à notre époque (quand j'ai eu mon CAPES). Il y a une Dominique sur la liste, mais ce n'est pas moi, les profs d'université qui étaient nouveaux de cette année ou de l'an dernier (comme je n'ai pas suivi les cours de l'université l'an dernier) la confondaient avec moi. Et quand un de mes profs leur parlait de Dominique en parlant de moi, ils croyaient que c'était elle et disaient qu'ils ne me trouvaient pas bonne en parlant d'elle. C'est embêtant parce que je suis meilleure qu'elle. Ceci dit, elle est très gentille et je m'entends bien avec elle. C'est une dame qui passe le CAPES sans les diplômes requis parce qu'elle a 3 enfants et 3 enfants donnent le droit de passer n'importe quel concours même sans diplôme. Moi, je n'ai pas d'enfants, j'ai une maîtrise, un CAPES complet (avec concours plus stage) et une bi-admissibilité à l'agrégation. J'espère que maintenant que les inspecteurs voient son prénom sur les listes de CAPES, ils ne vont pas croire que c'est moi, et me remettre auxiliaire, là où je suis bi-admissible. Même les élèves que j'ai dans le comité de jumelage, me demandent pourquoi je fais de la documentation, surtout que c'est dans la ville où je suis rattachée comme titulaire remplaçante et où je travaille, si je suis auxiliaire, etc... alors que, en fait, je suis certifiée bi-admissible à l'agrégation et que je postule pour la hors-classe des certifiés. C'est une histoire très compliquée. Aujourd'hui, j'ai rencontré une élève de seconde de mon ancien lycée, qui est la fille d'une maman que j'ai eu le samedi après-midi. Elle a appris entre temps que je suis en documentation, et quand je dis que je suis professeur bi-admissible elle ne me croit pas et sa mère ne me croit plus non plus. A cause de ce service de rattachement que la principale m'oblige à faire alors qu'en tant que titulaire, je n'ai pas à le faire, je passe pour une menteuse auprès des gens de la ville où je travaille, comme c'est une petite ville où mon époux et moi sommes connus tout ce sait et cette histoire de documentation aussi. En plus j'ai fait le guidage des CM2 dans le CDI, en précisant bien aux instituteurs dont certains me connaissent que je suis professeur d'allemand et que je fais le CDI parce que je n'ai pas assez d'élèves en allemand, pourtant avec tout le battage qu'on fait, dans cette ville le nombre d'élèves en allemand ne cesse d'augmenter, on a même plus de premières langues que de secondes langues. Et une sixième bilangue. On me connait aussi de l'école de musique. Plus personne ne comprend rien, j'étais un professeur estimé dans mon ancien lycée, et d'un seul coup on me retrouve en documentation.
Revenons-en à l'élève de seconde de mon ancien lycée qui fait musique (je l'ai rencontrée à un concert). Elle pensait que mon ancienne collègue agrégée qui est toujours dans ce lycée là était une prof nouvelle de cette année, alors que cela fait quinze ans qu'elle enseigne dans ce lycée et qu'elle est agrégée! C'est vraiment n'importe quoi. Je crois qu'il serait indispensable que les profs soient présentés en début d'année par le proviseur aux nouveaux élèves, en particulier aux secondes (ou aux sixièmes des collèges) et aux parents : "Voici Mme Une Telle qui a 20, 25, 30 ans d'ancienneté dans l'enseignement, qui est professeur titulaire, etc.... " Au début de l'année, beaucoup d'élèves on cru que ma collègue et moi, on était des vraies documentalistes, alors que nous sommes toutes les deux des profs, ces fameux TZR ou Titulaires en Zone de Remplacement qui peuvent être certifiés, bi-admissibles ou agrégés.

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

Bizzarre, je viens de remettre un commentaire ici et on m'a remis la vérification des lettres cette fois-ci sur j.a. . Je me demande pourquoi, peut-être parce que le commentaire était long...
Je ne connais pas L. gr.. Jamais vu ce nom là. J'écris les noms qui peuvent attirer des malfaiteurs en initiales parce que je sais que les commentaires sont dans les moteurs de recherche et après, on peut tomber sur ce blog secret en tapant ces mots là dans les moteurs de recherche.

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

@elisabeth : Ah si, mon autre commentaire est arrivé pendant que j'écrivais celui d'en dessous, c'est compliqué tout ça !

Écrit par : j.a | dimanche, 10 juin 2007

@erratum : beaucoup d'élèves ont cru....

Écrit par : j.a. | dimanche, 10 juin 2007

Bonjour,

Je pense que dans le milieu professionnel où tu évolues on aurait dû être plus clair sur les motifs qui ont fait que tu passes documentaliste. Maintenant, les vacances approchent et tu sais ou pas où tu vas te retrouver à la rentrée ?

Écrit par : elisabeth | lundi, 11 juin 2007

On ne peut être plus clair : "Vous êtes titulaire remplaçante, on n'a pas de remplacements à vous faire faire en allemand, il faut que vous justifiez de votre salaire."On ne gagne pas un salaire de bi-admissible à l'agrégation sans travailler pour le gagner". C'est la principale de mon collège de rattachement qui a dit cela, mais contrairement à la collègue de français qui travaille avec moi, je n'ai pas été nommée documentaliste, ni par le ministre, ni par le recteur. Elle a été nommée par le recteur. Et la principale ne veut pas faire de différence entre elle et moi. Je ne suis pas "passée documentaliste", mais je fais fonction de documentaliste tout en restant TZR (nouvelle dénomination des titulaires rempléçants). Je suis devenue TZR il y a cinq ans, à la fin d'un congé longue maladie pendant lequel quelqu'un d'autre avait été nommé sur mon poste de certifiée en lycée que j'occupais depuis 10 ans. La collègue qui était sur le quatrième poste avait intérêt à me voir partire (j'étais sur le troisième), pour ne pas être éjectée en cas de mesure de carte scolaire.

Écrit par : j.a. | mercredi, 13 juin 2007

Quand j'étais dans mon ancien lycée, on recevait en ce moment les surveillances de baccalauréat, les ordres de mission pour aller interrroger au bac étaient déjà là. On se partageait les classes pour l'année suivante. En effet, c'était plutôt pénard, la fin de l'année, on n'avait plus de copies sauf celles du bac. Le travail diminuait en fin d'année et on connaissait déjà son affectation pour l'année suivante, la même d'année en année, on ne demandait pas sa mutation, on savait que l'on était là jusqu'à la retraite. On, savait déà les classes que l'on allait avoir. Et puis tout a été bouleversé par ce congé maladie. En principe, on aurait du avoir plus d'égard pour moi au retour, m'arranger mon emploi du temps pour éviter la fatigue - c'est ce qui fut fait pour une collègue, rien de tout cela : j'ai fait des remplacements à heures supplémentaires, j'ai eu des remplacements en zone prévention violence, aucun proviseur ou principal ne savait que je sortais d'un congé longue maladie. Je suis devenue corvéable à merci, sauf sur mon service de rattachement, où on "ne me demandait rien". Une situation que je n'aimais pas non plus. C'est pourquoi j'ai demandé un changement de rattachement, croyant que ma réputation bonne dans cette ville jouerait en ma faveur. Niet. On m'a mise en documentation, sans même me demander mon avis. Tous les endroits où j'ai été rattachée ou bien où j'ai fait des suppléances sont plus éloignés de chez moi que mon ancien poste. Donc plus de fatigue.

Écrit par : j.a. | mercredi, 13 juin 2007

Les temps ont changé et cela s'est bouleversé petit à petit.
Bonne nuit.

Écrit par : elisabeth | jeudi, 14 juin 2007

Les commentaires sont fermés.